Le sujet du salaire minimum en Europe reprend sa place avant d’accéder aux élections de mai 2014. Le cas est considéré comme étant une solution considérable à la compétition déloyale qui se produit entre les pays de l’Union Européenne. L’idée est alors remise en question à de nombreuses reprises et soutenue par les difficultés subites par les ouvriers ainsi que les fermetures incessantes d’usines.
Salaire minimum exclusif en Europe
Les solutions proposées pour cette pratique n’ont pas été d’une grande aide. Dès l’admission de la monnaie européenne, cette alternative aurait pu être réalisable. La faillite de certains Etats devenait un problème pour instaurer l’opinion. Il est difficile d’imaginer un nivellement de salaire avec des économies tant émergentes qu’anémique.
Lors du referendum sur le traité installant une constitution pour l’Europe, la grande ambition européenne a été reniée. Les français ont rejeté par voie de 54,68% cette conviction. En 2006, une instauration de salaire minimum individuel a été insistée par le président de la Commission européenne. Cela concerne les entreprises et les confédérations syndicales.
En proposant aux Etats membres de positionner leurs propres salaires minimum, la commission européenne et le parlement européen peuvent probablement opter pour la mise en place d’une politique de salaire minimum. D’ailleurs, des conférences de perspectives pour l’emploi en Europe ont été organisées par le parlement européen en espérant d’en soutirer des résultats positifs.
Une véritable contrariété sociale de l’Europe
En raison de l’inefficacité des solutions adaptées, l’instauration du salaire minimum reste toujours délicate. D’ailleurs on ne constate aucune évolution significative pour l’ensemble des salariés des Etats européens tant au niveau du secteur public que du privé.
Les solutions tirées lors des différentes discussions avec tous les partenaires sembleraient difficiles et même impossible à mettre e œuvre. Ces dernières ne font alors qu’encourager les pays à choisir un SMIC ou accroître leurs salaires. Finalement, ce sont les Etats nationaux qui possèdent la décision.